Créations & Ateliers participatifs, Azimuts.art c’est l’exploration et la mise en récit du monde contemporain à travers des créations partagées et des rencontres inattendues. Collectif né de la réunion de trois structures aux pratiques artistiques complémentaires : le son, l’image et l’art du spectacle.

Créée en 2019, la Cie belle journée sur la pluridisciplinarité des pratiques (théâtre, cirque, arts plastiques, écriture) afin de composer un univers singulier où la question de l’espace est centrale. Le texte s’écrit au fil de la recherche scénique Déployer l’imaginaire, tordre les espaces-temps et rendre étrange l’habituel sont des choses que l’équipe a à cœur d’explorer.

Porteurs d’histoires, colporteur d’avenir, le Colectivo Terrón étire à son maximum la puissance expressive de la matière : terre, eau, sable… Par ses créations, il détourne, retourne et transforme le regard sur ces matériaux pauvres, ordinaires, banals, oubliés ou le plus souvent ignorés. De la fusion entre théâtre d’ombre et chorégraphie, entre narration et abstraction, sens et forme, les spectateurs découvrent les multiples potentialités expressives de ces éléments par une approche et une pratique artistique.

Regards des lieux est un collectif crée en 2010 dans le but de produire des oeuvres documentaires au croisement du cinéma et de la musique. Les créations sont initiées à partir du réel d’un territoire traversé. Dès son origine, Regards des lieux a souhaité soutenir la création, favoriser la diffusion, permettre la libre discussion et proposer à des non-professionnels d’être en lien avec le geste de création.

La compagnie Les Belles Oreilles explore le son comme matériau de création artistique. S’adressant à des publics diversifiés, elle porte des projets d’ateliers de pratique, de réalisation d’objets sonores en passant par la dimension scénique et vivante du son.

Site internet de la compagnie

Né en 1979 à Tokyo, Mabeye Deme vit et travaille entre Dakar au Sénégal et Grenoble en France. Formé aux études de cinéma à l’Université Sorbonne Nouvelle, il mène, depuis 2012, un travail plastique et documentaire sur la rue à Dakar et la relation photographe/photographié.e.s. La création d’images s’associe à une recherche qui porte sur des dispositifs relationnels. Parmi ces dispositifs, une tente de toile abîmée, construite en 2014 avec Kader Ndong, qu’il déplace depuis plusieurs années dans les quartiers des banlieues dakaroises, en particulier dans le quartier de Golf Sud, ou qu’il immobilise à un même endroit pendant des mois. Studio inversé, connu des habitant.e.s du quartier, la tente est un lieu de rencontres, à l’instar de celles où sont célébrées, à même les rues, toutes les cérémonies importantes de la vie.

« J’ai cru un temps que le dessin serait mon épine dorsale, en fin de compte c’est surtout qu’on peut parler avec.
Il y a eu du jeu vidéo, de la mécanique vélo militante, de la fresque, du reportage dessiné.
Je suis entré en BD en 2016.

Je reviens de 2 années nomades, où j’ai nourri mon écriture de fermes en Zads, de petits ermitages solitaires en joyeux collectifs.
L’humain et la métaphore sont la matière principale de mes histoires.
Et des fois je prête mon langage à mon frère journaliste, on fait des documentaires BD ensemble. »

Dernier livre : « Les pierres de familles »